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La Zakât

L’aumône légale (zakât) est l'un des piliers de l'Islam. Allah azawajalb l'a liée à la prière. Il a dit : " ... accomplissez la Salât et acquittez la zakât, ..." (Coran 2/43 - 2/110 - 4/77 - 33/33 - 13/58). Dans le Coran la zakat est toujours associée à la prière, elle est mentionnée 32 fois.

La zakât est mot arabe ( زَكَاة ) traduit par "aumône légale" est le troisième pilier de l'islam. Le musulman est tenu de calculer chaque année (en suivant les mois lunaires et non solaires) ce montant et de le donner aux plus pauvres (musulmans) dans son pays de résidence. Les religions précédentes avaient incité leurs adeptes à faire l’aumône, aucune d’entre elles ne s’y est intéressée avec autant de détails et de précision que la nôtre. En effet, l’islam a défini les différents types de biens sujets à la zakât, le taux réclamé pour chaque type, comme il a déterminé les différentes catégories de bénéficiaires de cette redevance. Il n’est pas permis de s’écarter des huit catégories pour donner dans d’autres actes de bien, comme la construction des mosquées ou des écoles ou autres.

Allah azawajalb dit : " Les sadaqâts ne sont destinés que pour les pauvres, les indigents, ceux qui y travaillent, ceux dont les cœurs sont à gagner (à l’Islam), l’affranchissement des jougs, ceux qui sont lourdement endettés, dans le sentier d’Allah, et pour le voyageur (en détresse). C’est un décret d’Allah ! Et Allah est Omniscient et Sage." (Coran 9/60)

La zakât permet de souder les liens entre le riche et le pauvre, et permet à l’individu de se purifier de son attachement pour les biens matériels et de s’épanouir. Elle le forge à se débarrasser de défauts, tels que l’avarice et la cupidité, comme le signale le Noble Coran et enfin de favoriser la solidarité entre musulmans. Entre autre, elle inculque au musulman l’esprit de générosité, d’altruisme, et de compassion envers les déshérités. Elle suscite la bénédiction, l’abondance et une compensation d’Allah azawajalb des biens sacrifiés.

Le Coran fait mention de la menace terrible prévue à l’encontre de ceux qui en sont avares ou négligents lorsqu’il faut la sortir. Tout argent dont une partie n’est pas réservée à l’aumône est considéré comme un trésor thésaurisé qui sera la cause du châtiment le Jour de la Résurrection.

Allah le Très-Haut azawajalb dit  : "... A ceux qui thésaurisent l’or et l’argent et ne le dépensent pas dans le sentier d’Allah, annonce un châtiment douloureux. Le jour où (ces trésors) seront portés à l'incandescence dans le feu de l’Enfer et qu'ils en seront cautérisés, front, flancs et dos : voici ce que vous avez thésaurisé pour vous-mêmes, Goûtez de ce que vous thésaurisiez." (Coran 9/34-35)

Allah le Très-Haut azawajalb dit  :" Que ceux qui gardent avec avarice ce qu’Allah leur donne par Sa grâce, ne comptent point cela comme bon pour eux. Au contraire, c’est mauvais pour eux : au Jour de la Résurrection, on leur attachera autour du cou ce qu'ils ont gardé avec avarice. ..." (Coran 3/180)

La zakât sur les biens (Zakât el Mal)

Cette Zakât est à faire sortir exclusivement en argent (comme son nom l'indique), contrairement à la Zakât el-Fitr. Il ne faut pas se tromper ou être induit en erreur par certaine personne qui prétende qu'il est possible de la distribuer en nourriture, ce qui totalement faux.

Le Coran nous informe très clairement à ce sujet, (Coran 9/60). Les aumônes sont destinées : aux pauvres et aux nécessiteux, à ceux qui sont chargés de les recueillir et de les répartir, à ceux dont les cœurs sont à rallier, au rachat des captifs, à ceux qui sont chargés de dettes, à la lutte dans le chemin d'Allah azawajalb et au voyageur. Tel est l'ordre d'Allah azawajalb. Allah azawajalb  sait et il est juste.

L’aumône légale ou Zakât Al Mal est, selon les lois islamiques, imposée de façon annuelle sur toutes valeurs marchande, c'est-à-dire qui rapporte de l'argent ou un profit.

Celle-ci porte sur :

√ Les ressources financières au-delà de 85 g d’or ou de 595 g d'argent, (Avoirs, biens, espèces, métaux précieux, épargne, dépôts en banque, actions, obligations, bons du trésor, fonds de placement)
√ Le bétail,
√ Les marchandises,
√ Fruits, légumes, céréales et autres ressources extraites du sol.

Par contre, tout ce que vous utilisez directement comme votre maison personnelle, votre voiture ou les bijoux utilisés par la femme, ne sont pas soumises à la Zakât.

La valeur de la Zakât à prélever est de 2,5 % du chiffre annuel (calendrier lunaire) épargné au-delà du nissab (le nissab est la richesse minimale au-delà de laquelle l'acquittement de la Zakât est obligatoire).

La Zakât est un droit que les moins fortunés ont sur le surplus des fortunés. Il existe plus de 80 versets dans le Saint Coran portant sur la Zakât et ses obligations.

Allah le Très-Haut azawajalb dit : "Et accomplissez la Salât et acquittez la Zakât. Et tout ce que vous avancez de bien pour vous-mêmes, vous le retrouverez auprès d'Allah, car Allah voit parfaitement ce que vous faites"  (Coran 2/110)

Les bénéficiaires de la zakât sont ceux à qui on doit verser la zakât et Allahazawajalb a spécifié dans le Coran les bénéficiaires de la zakât :

Allah le Très-Haut azawajalb dit : " Les Sadaqãts ne sont destinées que pour les pauvres, les indigents, ceux qui y travaillent, ceux dont les cœurs sont à gagner (à l'islam), l'affranchissement des jougs, ceux qui sont lourdement endettés, dans le sentier d'Allah, et pour le voyageur (en détresse). C’est un décret d’Allah ! Et Allah est Omniscient et Sage. " (Coran 9/60)

Il y a huit catégories de personnes ayant droit à la zakât :

 Le pauvre : Il n'a pas de quoi subvenir à ses besoins ainsi qu'à ceux dont il a la charge (femme, parents, enfants...). Ces besoins sont la nourriture, mais aussi le logement, les vêtements, etc. De même, il est possible que des non-musulmans dans le besoin puissent en bénéficier.

Le nécessiteux : La différence avec le pauvre est illustré dans le fait suivant : "Le nécessiteux n'est pas celui qui va d'une personne à une autre, congédié par une bouchée ou deux, par une ou deux dattes, mais le nécessiteux est celui qui n'a rien à dépenser et dont on ne soupçonne pas la privation pour lui venir en aide et qui ne se présente pas pour demander l'aumône." (Sahih Al-Boukhari)

Les collecteurs de la zakât : qui se déplacent donc de maison en maison. Il y a aussi les secrétaires et les intendants qui s'occupent de la gestion de cette aumône.

Les nouveaux convertis : La zakât peut être utilisée afin de raffermir le cœur des personnes qui viennent juste de se convertir.

L'affranchissement des esclaves musulmans : Ainsi, le musulman désireux de plaire à Allah azawajalb rachète et affranchi un ou plusieurs esclaves.

Les endettés : Les personnes ayant contracté une dette dans un but pieux peuvent bénéficier de la zakât, afin de s'en acquitter.

La voie d'Allah azawajalb : La voie d'Allah azawajalb  comprend principalement la guerre sainte (utilisée par exemple pour l'équipement, le ravitaillement, etc ...). 

Le voyageur : Celui qui est loin de chez lui et a besoin de se nourrir, de se vêtir par exemple peut bénéficier de la zakât. S'il est riche et a la possibilité d'emprunter de l'argent, il doit le faire plutôt que de bénéficier de la zakât.

Cela dit, les pauvres et les nécessiteux doivent être les bénéficiaires prioritaires, si le montant de l'aumône est relativement peu élevé. Il faut savoir également que le musulman ne peut donner son aumône aux personnes dont il a la responsabilité, comme ses enfants, ses parents... car il doit déjà subvenir à leur besoin (sauf s'ils remplissent certaine condition).

Afin de déterminer le montant de la zakât, il convient dans un premier temps de déterminer les biens soumis à ce pilier de l'Islam. Le Coran nous l'indique dans plusieurs versets.

Allah azawajalb dit : "Ô les croyants ! Dépensez des meilleures choses que vous avez gagnées et des récoltes que Nous avons fait sortir de la terre pour vous. ..." (Coran 2/267)

Allah azawajalb dit : "... À ceux qui thésaurisent l'or et l'argent et ne les dépensent pas dans le sentier d'Allah, annonce un châtiment douloureux." (Coran 9/34)

Ainsi, comme l'indique ce premier verset, la zakât doit être payée avec nos biens acquis. Nous trouvons donc dans un premier temps l'or, l'argent, mais aussi, compte tenu du contexte actuel, les billets de banque, chèques… En effet, les matériaux tels que l'or et l'argent étaient utilisés pour faire des pièces de monnaies à l'époque du Prophète saws. Aujourd'hui, nous avons les pièces et les billets en d'autres matériaux. Ensuite, on a les produits agricoles (grains, fruits, légumes...) et les bestiaux (Chameaux, bovins, ovins...).

Dans le contexte actuel où, en France notamment, les gens perçoivent un salaire, le calcul du montant de la zakât se base sur celui de l'or et l'argent de l'époque du Prophète  saws. Le montant est de 2.5 % de la somme thésaurisée en une année (calendrier lunaire). Pour les produits de la terre et les bestiaux, le taux est de 10 %. Le minimum imposable doit être calculé en fonction du niveau de vie de chaque pays, voir de chaque région. Cet impôt est équitable ; il est proportionnel à la somme ou aux biens économisés et donc des biens de chacun.

Il est à noter que terrains, immeubles, maison privée principale ou secondaire, voitures, mobiliers, vêtements, hypothèque ou bijoux personnels ne sont pas soumis à la Zakât.

Pour l'ensemble des Oulémas :  Celui pour qui la zakât est devenue obligatoire et est capable de la payer, il ne lui est pas permis de la reculer, parce que c’est un droit pour les ayants droit.

Quelles sont les conditions requises pour celui qui s'acquitte de la zakât ?

Les conditions de la zakât sont : L'islam, la liberté, la possession du quota requis et l'écoulement d'un an sur cette possession sauf les fruits et les récoltes.

Pour ce qui est de l'islam, il faut dire que seul le musulman doit s'acquitter de cette obligation, car le mécréant ne doit pas payer la zakât et elle n'est pas acceptée de lui.

Allah azawajalb dit : "Toute âme est otage de ce qu'elle a acquis. Sauf les gens de la droite (les élus) : dans des jardins, ils s'interrogeront au sujet des criminels : "Qu'est-ce qui vous a acheminés à Saqar ?" Ils diront : "nous n'étions pas de ceux qui faisaient la Salât, et nous ne nourrissions pas le pauvre, et nous nous associions à ceux qui tenaient des conversations futiles, et nous traitions de mensonge le jour de la Rétribution, jusqu'à ce que nous vint la vérité évidente (la mort)"  (Coran 74/38-47).

Toutefois, le fait que le mécréant ne doit pas payer la zakât et qu'elle ne sera pas acceptée de lui, ne signifie pas qu'il en est exempt dans l'au-delà, car il sera châtié pour ne pas l'avoir payé. Ceci indique donc que les mécréants seront châtiés pour ne pas avoir respecté les lois de l'islam.

La liberté : l'esclave n'a pas de propriétés et même s’il en a, ses possessions appartiennent à son maitre, car le Prophète saws dit : "celui qui vend un esclave qui possède de l'argent, ce dernier appartient au vendeur à moins que l'acheteur demande cet argent comme une condition pour conclure cette vente " 1

Ainsi l'esclave ne possède rien et par conséquent, il ne doit pas s'acquitter de la zakât. Si jamais l'esclave arrive à posséder quelque chose, cette possession revient de facto à son maitre. Ainsi, la possession de l'esclave n'est pas réelle comme celle de ceux qui jouissent de leur liberté.

La possession du quota requis : Cet élément signifie que l'homme doit posséder une quantité ou une valeur prescrite par la religion. Ce quota diffère selon la nature de la propriété. Quand ce quota n'est pas atteint, la personne ne doit pas s'acquitter de la zakât étant donné que son argent ne suffit pas pour payer la zakât. Le quota du bétail a un niveau minimal et un autre maximal, alors que dans les autres propriétés, il n'y a qu'un niveau minimal.

Le principe de l'écoulement d'un an : L'imposition de la zakât sur les propriétés, dont la durée de possession est inférieure à un an constitue une injustice envers les riches. De même, l'imposition de la zakât sur une durée supérieure à un an constitue un préjudice pour les gens dépourvus. Ainsi, la clairvoyance de la religion a voulu que la zakât soit payée sur une durée fixe, à savoir un an ce qui assure l'équilibre entre les riches et les démunis. Si par exemple, une personne meurt ou si l'argent est perdu avant l'écoulement de cette période, la zakât sera abrogée. Cependant, il y a trois exceptions à cette règle : le gain commercial, le produit du bétail et les produits agricoles.

Le gain résultant de transaction commerciale est sujet à la zakât quand le capital atteint un an, le produit du bétail la zakât doit être payée quand ce bétail atteint un an, alors que le temps requis pour s'acquitter de la zakât pour les récoltes et les fruits est fixé au moment de la moisson. 

La Zakât de la fin du jeûne (Zakât El-fitr)

La zakât de fin de ramadan (zakât-ul-fitr) est une obligation rendue obligatoire par le Messager d’Allahsaws⁣ ; on s’en acquitte à la fin du ramadan. Abdullah Ibn Omar radi allahu anhu a dit : " Le Messager d’Allahsaws prescrivit la zakât de fin ramadan. Elle est due par tout musulman, libre ou esclave, quel que soit son sexe, majeur ou mineur. " (Rapporté par Boukhari et Mouslim)

C'est la zakât sur le corps et non sur le bien. C'est un devoir pour chaque musulman s'il dispose de son montant en plus de sa propre charge et de la charge de ceux qu'il nourrit le jour de la Fête et la nuit qui le suit. Son montant est de un sa^ (quantité) de l'aliment de base le plus courant du pays.

C'est l'équivalent de quatre moudd pour des mains de taille moyenne. Elle est donnée à un miséreux dans le besoin et qui a droit à la zakât. Il est du devoir de l'homme de donner la zakât de la fin du jeûne (fitra) de son épouse musulmane et de ses enfants qui ne sont pas pubères et de tout proche qui est à sa charge, c'est-à-dire ceux dont la charge est un devoir pour lui, par exemple les pères et mères. Il n'est pas un devoir de payer la zakât de la fin du jeûne de quelqu'un qui est mécréant. D'autre part, il n'est pas valable de donner la zakât de la fin du jeûne de l'enfant pubère sauf avec son autorisation. Que l'on fasse donc attention à cela, car beaucoup de gens ne prennent pas ce jugement en considération et donnent la zakât de l'enfant pubère sans son autorisation.

Lors de l'acquittement de la zakât de la fin du jeûne, il est indispensable de faire l'intention lors du retrait de la part à verser. Le retrait, c'est placer de côté la part qui va être donnée en zakât, par exemple en disant dans son cœur : ceci est la zakât de mon corps. Ceci est conforme à la parole du Messager saws :
"Certes, les (bons) actes ne valent que par l'intention ".(Rapporté par Boukhari)

La zakât de la fin du jeûne devient un devoir avec le coucher du soleil du dernier jour de Ramadan, sur celui qui a vécu une partie de Ramadan et une partie de Chawwal. En conséquence, il est un devoir pour le tuteur de la payer sur le nouveau-né qui est né le dernier jour de Ramadan. C'est un devoir de la payer avant le coucher du soleil du jour de la Fête et il est interdit de la reculer plus tard que cela sans excuse. Il est permis de la donner à partir du début de Ramadan.

Ce qui est préférable, c'est de donner la Zakât fitr la veille du dernier jour du mois et surtout (important) avant la prière de l'Aïd.

Le Waqf, un autre type d'aumône La Zakât

Le Waqf est une des institutions fondamentales du monde de l'Islam en finançant les actions sociales, les projets de développement, la défense de la communauté et les campagnes militaires coûteuses. Avec les Fatimides, il était obligatoire aux cadis d'inscrire et de répertorier toutes les opérations garantissant la pérennité et le bon emploi de ce qui leur a été confié comme Waqf.

Les "habs" ou encore "hubus" expriment avant tout le fait d'arrêter ou de suspendre le mouvement d'une chose, de l'immobiliser (awqaf). Dès l'instant où le musulman confie son bien en Waqf, il en perd toute disponibilité. Il ne pourra plus ni le reprendre, ni même le revendiquer comme héritage. Il n'est plus à lui, il est devenu un bien social, pour l'amour d'Allah azawajalb. L'homme a ainsi témoigné sa gratitude envers Allah azawajalb. Ainsi, Il a rendu grâce à Allah azawajalb pour toutes les faveurs que ce dernier lui aurait accordées lorsqu'il a constitué son patrimoine.

Le waqf fait partie de la catégorie des "œuvres de bienfaisance durables" étant donné que les revenus issus des biens cédés continuent à être donnés en aumône après la mort de son initiateur.

Le Prophète saws a dit : "Quand le fils d'Adam meurt, toutes ses œuvres s'achèvent (c'est-à-dire la rétribution de ses actes), sauf une œuvre de bienfaisance durable, une science utile ou un enfant vertueux qui prie pour lui." (Rapporter par Mouslim)

Omar Ibn Al-Khattab radi allahu anhu quant à lui avait gagné une terre à la bataille de Khaybar, "le meilleur bien" qu'il ait reçu selon ses dires ; il interrogea le Prophète saws sur la meilleure manière de l'employer au service des musulmans. Le Messager d'Allah saws lui répondit : "Immobilise-la de façon à ce qu’elle ne puisse être ni vendue, ni donnée, ni transmise en héritage et distribue les revenus aux pauvres." (Rapporter par Boukhari, ibn Majeh et An-Nassa’i)

Le Waqf représente la meilleure manière de manifester sa gratitude envers Allahsaws. Le waqf constitue un investissement pour l'au-delà et rappelle aux musulmans que la vie éternelle se mérite, car elle vaut cher. Passant devant tel ou tel bien transformé en Waqf, le croyant est stimulé à agir comme nos modèles, nos pieux prédécesseurs  radi allahu anhum.

Pour plus de détails

1 Cité par Boukhari dans le livre de l’abreuvage, chapitre 2379 et par mouslim dans le livre des transactions commerciales, chapitre de celui qui vend des palmiers fructueux ( 4541) (80)

Wa Allâhou A’lam
Allah azawajalb est le plus savant

band decoJe demande humblement à Allah  azawajalb de m'accorder la sincérité dans l'intention et Sa Clémence et d'unir tous les musulmans 
sous la bannière du Prophète Mohammed  saws afin que nous soyons parmi les gagnants le Jour du Jugement.

Que la paix et la bénédiction d'Allah soient sur Ton serviteur et Messager, notre Prophète Mohammed saws, qu’Allah azawajal vertsoit satisfait de ses successeurs (califes) bien dirigés, les imams bien guidés : Abou Bakr, 'Omar, 'Othman et Ali et tous les autres compagnons radi allahu anhum et ceux qui les ont succédé et ceux qui ont succédé à ceux-là sur le même chemin jusqu’au jour de la résurrection.

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