﷽
Les affres de la mort
Nous sommes à Allah, c’est vers Lui que nous retournerons, la mort est un retour à Allah.
Tout le monde fuit et a peur de la mort, mais qu'importe le lieu où une personne se réfugie ou le moyen par lequel elle se protège, elle peut rencontrer sa mort à n'importe quel moment. Quand le moment prescrit arrive, c'est inéluctable, l'Ange de la mort est là.
Le Prophète, , a dit : " Certes, dans la mort il y a des affres." (Rapporté par Boukhari)
D'après Abou Houreyra le Prophète a dit : " N'avez-vous pas vu que lorsqu'une personne meurt, son regard se lève ?". Ils ont dit : Certes oui. Le Prophète a dit : " Ceci est lorsque son regard suit son âme ". (Rapporté par Mouslim)
La mort est l'arrachement de l’âme au corps. Elle est l’un des grands signes d’Allah et un symbole tangible sur Sa Grandeur et Sa Puissance, que tout un chacun peut observer. Allah dit : " Toute âme goûtera la mort. … " (Coran 3/185)
Allah dit : "Lorsque le souffle de la vie remonte à la gorge (d'un moribond) et qu’à ce moment vous là vous regardez, et que Nous sommes plus proche de lui que vous (qui l'entourez), mais vous ne (le) voyez point. Pourquoi donc, si vous croyez que vous n’avez pas de compte à rendre, ne la faites-vous pas revenir (cette âme), si vous êtes véridiques ? " (Coran 56/83-87)
Allah dit : " Où que vous soyez, la mort vous atteindra, fussiez-vous dans des tours imprenables … " (Coran 4/78)
L’âme commence à se retirer, à monter jusqu’à la gorge pour sortir de la captivité du corps et commencer le voyage dans le monde intermédiaire (al-barzakh).
Allah dit : " Dis : " La mort que vous fuyez va certes vous rencontrer. Ensuite vous serez ramenés à Celui qui connaît parfaitement le monde Invisible et le monde visible et qui vous informera alors de ce que vous faisiez.” (Coran 62/8).
Le Prophète attribuait une grande importance méritoire aux derniers instants vécus sur terre. La dernière pensée doit être confiante et se tourner vers Allah . C’est pourquoi le mourant doit être aidé par un musulman qui lui fait répéter ou entendre, s’il ne peut parler, la formule de la Chahada (l’attestation de la Foi). Toutefois, il a défendu de la répéter trop souvent à cause de la terreur immense et de l'affliction déchirante que le mourant à supporter.
D'après Aicha , le Prophète a dit ; " Celui qui aime la rencontre d'Allah, Allah aime sa rencontre et celui qui déteste la rencontre d'Allah, Allah déteste sa rencontre ". J'ai dit : Ô Messager d'Allah ! S'agit-il du fait de détester la mort ? Car chacun de nous déteste la mort. Le Prophète a dit : " Ce n'est pas cela. C'est plutôt lorsqu'on annonce au croyant la bonne nouvelle de la miséricorde d'Allah, de sa satisfaction et de son paradis, alors il aime la rencontre d'Allah et Allah aime sa rencontre. Et certes le mécréant, lorsqu'on lui annonce la nouvelle du châtiment d'Allah et de sa colère, alors il déteste la rencontre d'Allah et Allah déteste sa rencontre ". (Rapporté par Boukhari et Mouslim)
D'après Oum Salama , le Prophète a dit : " Lorsque vous êtes en présence d'un malade ou d'un mort, alors dites du bien, car assurément les anges disent " amine " à ce que vous dites ". (Rapporté par Mouslim)
Toute la vie du croyant musulman est une longue préparation à la vie future (incha Allah), et la mort n’est envisagée que comme un passage nécessaire, obligé vers un au-delà qui est une promesse, et une espérance, de jugement et de rétribution.
Description :
Toute âme est reprise du corps qui la retient, après les différentes prières de la journée, par la venue de l'Ange de la mort. À sa présence, l'âme commence par remontée par les pieds qui commencent à refroidir et ainsi progressivement jusqu'à la gorge. Sa sortie est le moment le plus terrifiant, car suivant le vécu de la personne : une sortie douce ou c'est un arrachement du corps.
Cette expérience peut être ressentie différemment par chaque individu. Pour les croyants vertueux, la mort est souvent décrite comme une expérience paisible et bénie, avec des anges apportant réconfort et douceur lors de l'extraction de l'âme. En revanche, pour les mécréants et les personnes qui ont commis de mauvaises actions, la mort est décrite comme une expérience difficile et douloureuse, avec des anges plus sévères dans leur approche.
Le Prophète a dit : " Lorsque l’esclave sera placé dans sa tombe et que ses compagnons retourneront sur leur pas, il entendra le bruit de leurs pas s’éloigner ; alors viendront à lui deux anges qui le feront asseoir et lui diront : " Que disais-tu de cet homme Mohammed ? " Le croyant répondra : " Je témoigne qu’il est l’esclave de Dieu et Son Messager. " On lui dira : " Regarde donc la place que tu as évitée en enfer, Dieu te l’a remplacée par une meilleure place." (Rapporté par Boukhari, nissaï, Tirmidhy)
D'après Abôu Hourayra le Prophète a dit : " Quand le mort ou l'homme est enterré, viennent à lui deux anges bleu et noir, l'un s'appelle Mounkar et l'autre Nakîr, et ils lui disent : "Que disais-tu de cet homme Mohammed ?" Et il dira ce qu'il disait (auparavant) ; s'il était croyant, il dira : "C'est l'esclave d'Allah et Son messager, je témoigne qu'il n'est de dieu qu'Allah et je témoigne que Mohammed est Son esclave et Son messager". Les anges lui diront : "Certes, nous savions que tu diras cela", puis sa tombe sera élargie de soixante-dix coudées sur soixante-dix coudées et sera illuminée pour lui. Puis, on lui dira : "Dors", alors il dormira du sommeil du nouveau marié qui ne sera réveillé que par l’être le plus cher de sa famille, jusqu’à ce qu'Allah le ressuscite de cette couche-là. S'il était hypocrite, il dira : "Je ne sais pas. J'entendais les gens dire quelque chose et je disais comme eux". Ils lui diront : "Certes, nous savions que tu diras cela". Puis, il sera dit à la terre de se refermer et elle se refermera sur lui jusqu'à ce que ses côtes s'entremêlent. Il restera dans le châtiment jusqu'à ce qu'Allah le ressuscite de cette situation." (Rapporté par Boukhari et mouslim).
Le Prophète a dit : " Quand l'homme est déposé dans sa tombe, et que ses compagnons le quittent, il entend le bruit de leurs semelles, et lorsqu’ils se sont retirés, deux anges viennent à lui, le font asseoir et lui disent : "Que disais-tu à propos de cet homme Mohammed ?" Ainsi le croyant [complet] dira : "Je témoigne qu'il est l'esclave d'Allah et Son messager", alors on lui dira : "Regarde la place en enfer [que tu aurais eue si tu serais mort mécréant], Allah te l'a échangée contre une place au paradis" et il les verra toutes deux. Quant au non-croyant ou à l'hypocrite [qui cache sa mécréance et se dit musulman], il dira : "Je ne sais pas, je disais ce que les gens disaient de lui". Alors, on lui dira : "Tu n'as rien su et tu n'as rien dit", puis il sera frappé entre les deux oreilles avec une masse de fer et il criera d'un cri qu'entendront tous ceux qui se trouvent aux alentours sauf les hommes et les jinns." (Rapporté par Boukhari et mouslim).
Description de la mort du croyant
Quand l'Ange s'est emparé de l'âme bienheureuse, deux Anges, aux beaux visages, couverts de vêtements splendides et parfumés d'odeurs exquises, la saisissent et l'enveloppent dans un vêtement de soie pris dans le paradis. Or, elle a les dimensions d'une abeille, tout en gardant son individualité humaine. Elle n'a rien perdu de son intelligence, ni de sa science qu'elle a acquise dans le monde terrestre. Les Anges l'emportent dans les airs, et passent sans cesse auprès des anciens peuples et des générations disparues, qui sont semblables à des nuées de sauterelles répandues au loin.
Enfin, ils atteignent le ciel inférieur et Al Amîn (Al Amîn est un des surnoms de l’Ange Djibril ) frappe à la porte. On lui demande : " Qui es-tu ? ".
Il répond : " Je suis Salsâ’îl (Salsâ’îl est aussi l'un des surnoms de l’Ange Djibril), et mon compagnon est Untel". Et il le désigne par le plus beau de ses noms, par le nom qui lui est le plus cher. On lui dit : "Qu'il soit le bienvenu, puisque sa foi a été parfaite et qu'il n'a jamais douté ! "
Ensuite, ils arrivent au deuxième ciel et Al Amîn frappe à la porte. On lui demande : " Qui es-tu ? "
Il répond comme la première fois. On lui dit : " Qu'il soit le bienvenu, cet homme qui s'est scrupuleusement acquitté de la prière, en observant tous les préceptes qui s'y attachent !"
Ensuite, ils continuent et arrivent au troisième ciel et Al Amîn frappe à la porte. On lui demande : " Qui es-tu ? "
Il réplique comme précédemment. Alors, on lui dit : " Qu'il soit le bienvenu, cet homme qui a honoré Allah au moyen de sa fortune et qui n'a rien valu en retenir ! "
Ensuite, ils continuent et arrivent au quatrième ciel et Al Amîn frappe à la porte. On lui demande : " Qui es-tu ? "
Il répond comme il a coutume de le faire. Alors, on lui dit : " Qu'il soit le bienvenu, cet homme qui a eu l'habitude de jeûner dans toutes les règles, qui s'est abstenu du commerce charnel et de la nourriture interdite ! "
Ensuite, ils continuent et arrivent au cinquième ciel et Al Amîn frappe à la porte. On lui demande : " Qui es-tu ? "
Il répond comme il a coutume de répondre. On lui dit : " Qu'il soit le bienvenu, cet homme qui a accompli le pèlerinage qui lui était imposé par Allah qu'Il soit exalté, et qui ne l'a pas fait pour se montrer ni pour faire parler de soi ! "
Ensuite, ils continuent et arrivent au sixième ciel et Al Amîn frappe à la porte. On lui demande : " Qui es-tu ? "
Il répond selon son habitude. Alors on lui dit : " Qu'il soit le bienvenu, cet homme intègre, cette âme excellente, qui a fait preuve d'une grande piété filiale envers ses parents ! " Et on lui ouvre la porte.
Ensuite, ils continuent et arrivent au septième ciel et Al Amîn frappe à la porte. On lui demande : " Qui es-tu ? "
Il donne sa réponse habituelle et on lui dit : " Qu'il soit le bienvenu, cet homme qui a fréquemment imploré le pardon d'Allah dès l'aurore, qui a donné l'aumône en secret et qui a pris soin des orphelins ! " Et on lui ouvre la porte.
Ensuite, ils continuent et arrivent aux voiles de la Majesté. Al Amîn frappe à la porte. On lui demande : " Qui es-tu ? "
Il répond comme précédemment et on lui dit : " Qu'il soit le bienvenu, cet homme intègre, cette âme excellente, qui a fréquemment imploré le pardon d'Allah, qui a ordonné ce qui est bien et défendu ce qui est interdit, et qui a été généreux envers les pauvres ! "
Puis, il continue sa route et passe auprès d'une élite d'Anges qui lui annoncent le paradis et qui le saluent jusqu'à ce qu'il arrive au Sidrat Al Muntahâ. Al Amîn frappe à la porte et on lui dit : " Qui es-tu ? "
Il fait la même réponse que précédemment et on lui dit : " Qu'il soit le bienvenu, cet homme dont la conduite a été intégré devant Allah Le Fort et Le Majestueux ! " Ensuite, on lui ouvre la porte et il traverse une mer de feu, puis une mer de lumière, puis une mer de ténèbres, puis une mer d'eau, puis une mer de neige, puis une mer de grêle. La durée pour franchir chacune de ces mers est de 1000 ans.
Ensuite, les voiles placés devant le Trône appartenant à AllahLe Miséricordieux se déchirent. Or, ces voiles se composent de 80 000 dais, chacun possédant 80 000 extrémités, et sur chacune de ces extrémités se trouve une lune qui glorifie Allah, célèbre Sa louange en proclament Sa Sainteté. Si une de ces lunes apparaissait au ciel inférieur, les hommes l'adoreraient à la place d'Allah et elle embrasserait le monde terrestre de sa lumière.
C'est alors qu'un héraut placé derrière ces dais, en la sainte présence d'Allah criera de vive voix : " Qui est cette âme que vous avez amenée ? " On lui répondra : " C'est Untel fils d'Untel ". Allah Le Majestueux dira alors : " Faites-le approcher. Tu as été un bon serviteur, ô Mon serviteur.» Puis, Il le fera tenir devant Lui et l'effrayera par quelques reproches et réprimandes (sur les péchés qu'il a commis durant sa vie terrestre) si bien qu'il se croira perdu. Cependant, Allah lui pardonnera ses fautes et pêches.
Description de la mort du mécréant
Quant au mécréant, on arrache son âme avec violence et voici que son visage prend la même apparence que celui d'un homme qui aurait mangé de la coloquinte. L'Ange lui dit alors : " Sors de ton corps pervers, ô âme perverse !". Alors, elle produit un son retentissant, semblable au braiment des ânes.
Quant l'Ange Izrâël s'est emparé de cette âme, il la remet à des Anges justiciers au visage terrifiant, aux vêtements noirs, à l'haleine fétide, qui ont dans les mains des cilices de crin avec lesquels ils l'enveloppent. L'âme se trouve ainsi changée en une individualité humaine, ayant la taille d'une sauterelle. En effet, le mécréant a un corps plus considérable que le croyant (je veux ici parler du corps qu'ils ont dans l'autre monde). Il est d'ailleurs dit dans le Sahîh qu'enfer, la dent du mécréant est aussi grande que la montagne de Ouhoud.
Puis on emporte cet homme dans les airs jusqu'à ce qu'il atteigne la porte du ciel inférieur. Al Amîn frappe à la porte et on lui demande : « Qui es-tu ? » Il répond : " Je suis Qayâbîl." Car le nom de l'Ange préposé aux Anges du châtiment est Qayâbîl. On lui dit : " Qui est avec toi ? " Il répond : " C'est untel fils d'untel. " Il le désigne par le plus laid de ses noms, par celui qu'il détestait le plus dans le bas-monde. On lui dit alors : " Pas de vœux de bienvenue pour lui ! " On ne leur ouvre alors pas les portes du ciel et ils n'entreront pas au paradis jusqu'à ce qu'un chameau puisse passer par le chat d'une aiguille. Quand Al Amîn entend cette réponse, il le laisse tomber de sa main. Alors, le vent s'en empare et le repousse vers un lieu éloigné. Ceci est conforme à la Parole d'Allah .
Allah dit ; " (Soyez) exclusivement (acquis à la religion) d'Allah ne Lui associez rien ; car quiconque associe quelque chose à Allah, c'est comme s'il tombait du haut du ciel et que les oiseaux le happaient, ou que le vent le précipitait dans un abîme très profond. " (Coran 22/31).
Malheur à lui ! Voilà la confusion dans laquelle il se trouve !
Quand il tombe à terre, les Anges justiciers se précipitent sur lui et l'emportent au Sijjîn, qui est une grande pierre auprès de laquelle se rassemblent les esprits des mécréants. Quant aux chrétiens et aux juifs, on les repousse également loin du Kursî, jusque dans leurs tombeaux : c'est le cas de tous ceux qui ont été leurs coreligionnaires, qui ont été présents lorsqu'on a lavé leurs cadavres et qui les ont enterrés. Quant à l'idolâtre, il ne verra rien de tout cela, car il sera tel un jouet pour le vent. Enfin, quant à l'hypocrite, il en est de lui comme de celui qu'on repousse dans sa tombe avec haine et répulsion.
Les risques qu'encourent les mauvais musulmans
Quant à ceux d'entre les musulmans qui n'ont pas accompli entièrement leurs devoirs, il y a plusieurs catégories parmi eux :
Pour l'un, c'est la prière qui le repousse, car lorsqu'un Homme accompli sa prière d'une manière imparfaite et qu'il en a supprimé une partie, on enroule sa prière comme on enroule un vêtement usé et on le frappe au visage avec elle. Ensuite, sa prière s'élève en disant : " Qu'Allah te néglige tout comme tu m'as négligée !"
Pour un autre, ce sont ses aumônes qui le repoussent, parce qu'il a fait l'aumône uniquement pour que l'on dise : " Il est généreux ! " Quelquefois aussi, un homme dépense l'argent des aumônes auprès des femmes et cherche à attirer leurs bonnes grâces par ce moyen. Nous avons déjà vu des cas comme celui-ci, qu'Allah nous préserve d'encourir le même châtiment !
Pour tel autre encore, c'est le jeûne qui le repousse. En effet, il peut avoir jeûné par rapport aux aliments, mais non par rapport au langage, ce qui signifie qu'il aurait tenu des propos obscènes ou qu'il se serait vanté. Le mois du jeûne se détourne alors de lui parce qu'il l'a négligé.
Tel autre encore, c'est le pèlerinage qui le repousse, soit parce qu'il l'a fait uniquement dans le but que l'on dise : " Il a fait le pèlerinage ! ", soit parce qu'il l'aurait accompli avec de l'argent acquis illicitement.
Enfin, pour tel autre, c'est sa désobéissance envers ses parents qui le repoussent.
Tout le reste des devoirs de la piété n'est connu que de ceux qui sont versés dans la connaissance intime des actions et qui savent comment il faut agir pour se conformer à Loi Divine.
Quelques caractéristiques entre le visage du mort qui fut damné et le visage de celui qui mourut croyant
Quand vous regardez un mort et que vous voyez que sa salive a coulé, que ses lèvres se sont contractées, que son visage est devenu noir, que le blanc de ses yeux se montre, sachez qu'il est damné et que la réalité de sa damnation dans l'autre monde vient d'être dévoilée.
Mais si vous voyez le mort avoir la bouche renfoncée, comme s'il riait, le visage serein, les yeux à demi-fermés, sachez alors qu'il vient de recevoir la bonne nouvelle de l'avenir réjouissant qui l'attend dans l'autre monde et que la réalité du sort honorable qui lui est réservé vient de lui être révélée.
Le Prophète dit : "Le cas du Croyant est vraiment merveilleux et tout ce qui lui arrive n’est que du bien, nul autre en dehors du Croyant n’a cela ; s’il lui arrive un bonheur, il est reconnaissant et cela est un bien pour lui, et s’il lui arrive un malheur, il est patient et cela est un bien pour lui." (Rapporté par Mouslim)
Allah dit : " ... Si tu voyais les injustes lorsqu'ils seront dans les affres de la mort, et que les Anges leur tendront les mains (disant) : "Laissez sortir vos âmes. Aujourd'hui vous allez être récompensés par le châtiment de l'humiliation pour ce que vous disiez sur Allah d'autre que la vérité et parce que vous vous détourniez orgueilleusement de Ses enseignements.” (Coran 6/93).
Allah dit : " Si tu voyais, lorsque les Anges arrachaient les âmes aux mécréants ! Ils les frappaient sur leurs visages et leurs derrières, (en disant) : "Goûtez au châtiment du feu. Cela (le châtiment), pour ce que vos mains ont accompli.” Et Allah n'est point injuste envers les esclaves. (Coran 8/50-51).
Les états endurés par les mourants diffèrent selon la foi des uns et des autres.
Source Imam Al Ghazâlî
"Ô Allah, vivifie nos cœurs et accorde–nous les mêmes grâces que celles qu’ont reçues nos nobles prédécesseurs !"
Wa Allâhou A’lam
Allah est le plus savant
Seul Allah est Parfait.
Le savoir parfait appartient à Allah, et notre dernière invocation est qu'Allah, Seigneur des Mondes, soit Loué et que paix et salut soient sur notre Prophète Mohammed , ainsi que sur sa Famille, et qu’Allah soit satisfait de ses successeurs (califes) bien dirigés : Abou Bakr, 'Omar, 'Othman et Ali et les autres compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection.
Si j'ai écrit quelque chose qui contredit ce qu'Allah dit, ou ce que le Prophète Mohammed a dit, fait ou toléré, ou un principe établi par consensus, il s'agit d'une erreur de ma part et l'influence du diable, cela est à délaisser. Seul le Prophète Mohammed est infaillible dans ce qu'il a dit ou a fait.
Je demande humblement à Allah de m'accorder la sincérité dans l'intention et Sa Clémence et d'unir tous les musulmans
sous la bannière du Prophète Mohammed afin que nous soyons parmi les gagnants le Jour du Jugement.